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Comment j'ai pris mon pied avec un anulingus d'enfer…

  • anniv45
  • 10 nov.
  • 3 min de lecture
Comment j'ai pris mon pied avec un anulingus d'enfer…
Comment j'ai pris mon pied avec un anulingus d'enfer…

Alexandre avait toujours été curieux des plaisirs intimes les plus secrets. Ce soir-là, dans la chambre faiblement éclairée de son appartement, il se préparait à explorer un territoire qu'il n'avait encore jamais osé franchir avec sa partenaire, Léa. Elle était allongée sur le lit, nue, les jambes légèrement écartées, un sourire complice sur les lèvres. « Montre-moi comment tu vas faire, » murmura-t-elle, excitée par l'idée de ce nouveau jeu.

 

D'abord, Alexandre savait que la préparation était essentielle. Il commença par s'assurer que tout était propre. Léa avait pris une douche minutieuse, se lavant l'anus avec un savon doux et de l'eau tiède, en insistant bien sur la zone. Lui aussi s'était douché, se brossant les dents et utilisant un bain de bouche pour que son haleine soit fraîche. « La propreté, c'est la base, » pensa-t-il, en se rappelant les conseils qu'il avait lus en ligne. Sans ça, le plaisir pouvait vite tourner au désagrément.

 

Il s'approcha d'elle, ses mains caressant doucement ses cuisses. Léa se mit à quatre pattes, cambrant le dos pour exposer son cul rond et ferme. Alexandre admira la vue : ses fesses pâles, légèrement écartées, révélant l'entrée plissée de son anus. Il sentit son sexe durcir à cette vision. Pour commencer en douceur, il posa ses lèvres sur une joue de fesse, embrassant la peau chaude. Puis, il lécha lentement, traçant une ligne humide de la base de sa colonne vertébrale jusqu'au creux entre ses globes.

 

« Relaxe-toi, » lui dit-il d'une voix rauque, en massant ses fesses pour détendre les muscles. Léa expira profondément, laissant son corps s'ouvrir. Alexandre écarta doucement les chairs avec ses pouces, exposant pleinement l'anus rose et serré. Il souffla dessus, un air chaud qui fit frissonner Léa. C'était le moment de passer à l'action. Il approcha sa langue, plate et large, et la posa directement sur l'anneau plissé. Un premier contact léger, un effleurement humide qui fit gémir Léa.

 

Il augmenta la pression, léchant en cercles lents autour de l'anus, goûtant la peau propre et salée. Sa langue tournait, explorant les plis, les humidifiant généreusement. « Comme ça, continue, » haleta-t-elle, poussant ses hanches en arrière. Alexandre variait les mouvements : des laps longs et plats qui couvraient toute la zone, puis des pointes plus précises qui pressaient contre l'ouverture, essayant de s'y insinuer sans forcer. Il suçait doucement les lèvres anales, aspirant la chair délicate dans sa bouche, ce qui envoyait des ondes de plaisir à travers le corps de Léa.

 

Pour intensifier, il glissa une main entre ses jambes, trouvant sa chatte déjà trempée. Ses doigts écartèrent les lèvres humides, frottant son clitoris gonflé en rythme avec sa langue sur l'anus. Léa se cambra plus fort, son corps tremblant. Alexandre plongea sa langue plus profondément, la faisant tournoyer à l'intérieur autant que possible, sentant les muscles se contracter autour d'elle. Il alternait : lécher l'anus, puis descendre pour sucer sa chatte, remontant avec sa langue couverte de jus pour lubrifier encore plus l'entrée arrière.

 

« Utilise tes mains pour écarter plus, » suggéra-t-elle entre deux gémissements. Il obéit, tirant les fesses à l'écart, exposant tout. Sa bouche engloutit l'anus, sa langue fouillant avec avidité, tandis que deux doigts s'insinuaient dans sa chatte, pompant lentement. Léa criait maintenant, son orgasme montant. Alexandre accéléra, sa langue piquant et léchant sans relâche, suçant l'anus comme s'il voulait le dévorer.

 

Quand elle jouit, son corps se convulsa, son anus pulsant contre la langue d'Alexandre. Il ne s'arrêta pas tout de suite, prolongeant les sensations avec des léchages doux. Puis, il se redressa, son visage luisant, et l'embrassa passionnément, partageant le goût intime de son plaisir.

 

Ce soir-là, Alexandre apprit que bien faire un anulingus, c'était avant tout écouter le corps de l'autre : commencer lentement, varier les pressions, combiner avec d'autres caresses, et toujours avec enthousiasme. Léa, épuisée et comblée, se blottit contre lui. « À ton tour la prochaine fois, » chuchota-t-elle, promettant une réciprocité tout aussi torride.



 
 
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